jeudi 5 janvier 2017

USA. Affrontement armé à NY entre CIA et NSA. Trump furieux : le "hacking russe" est une invention



Un rapport intrigant du Service des renseignements étrangers (SVR) circulant au Kremlin affirme aujourd'hui que le président élu Donald Trump "a explosé de colère froide" hier, après qu'une équipe spécialisée d'infiltration de la CIA a tenté d'entrer dans l'une des agences de sécurité nationale NSA, l’une des plus sécurisés du Lower Manhattan (New York) au début de la matinée. Cette tentative d’intrusion musclée  a abouti à des affrontements armés entre les «agents armés» de ces deux organisations d'espionnage américains laissant au moins 1 blessé.
Selon ce rapport, les analystes de la surveillance électronique du SVR ont détecté hier une «communication de détresse» par satellite cryptée émanant de la station d'écoute top-secret de la NSA nommée TITANPOINTE (anciennement appelée Long Lines Building) dans le Lower Manhattan. Cette communication a été instantanément suivie d'une série de "communications chiffrées par satellite " émanant du siège de la CIA à Langley, en Virginie.
L'analyse SVR de ces «communications» NSA-CIA montre que, vers 4 h 15 (heure de New York (GMT-4) hier, une équipe spécialisée d'infiltration de la CIA a tenté d'accéder au poste d'écoute de la NSA situé à TITANPOINTE, 33 rue Thomas, mais elle a  été rapidement repoussée par des agents armés de la NSA qui ont ensuite donné la chasse aux intrus, résultant dans une bataille armée c qui s'est terminée à l'intersection des rues Essex et Hester à 04:35 heures. Cet échange de tirs a entraîné, au moins, un blessé à l'épaule,  qui a été immédiatement admis à l'hôpital new-yorkais-presbytérien, mais a refusé de parler aux policiers locaux.
Près de 10 heures après cette bataille NSA contre CIA, le président élu Trump a été informé par le régime d'Obama que son briefing de renseignement planifié sur la "fausse nouvelle", concernant le prétendu piratage russe, a été annulé et reprogrammé. Ce qui a entraîné une explosion de colère froide de Trump, qui a écrit sur Twitter: "Le briefing concernant le prétendu "hacking russe" a été retardé jusqu'à vendredi, peut-être plus leur faut-il plus de temps pour construire un cas. Très étrange!"
En parlant du « cas du hacking russe », le président élu Trump faisait référence dans son Tweet, tourne autour des courriels de l'ancien président de la campagne Hillary Clinton, John Podesta, qui ont été publiés par Wikileaks. Or, le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, a déclaré plusieurs fois que ni la Russie, ni aucun organisme étatique ne lui ont fourni ces emails.
Cette fable de « hacking russe » est apparue peu de temps après la publication des courriels de Podesta en octobre dernier (2016), l'agence de presse russe Sputnik News avait mal interprété un courriel unique, mais a rapidement corrigé son erreur. Profitant de cette bévue, près de 4000 journalistes propagandistes américains soutenant la Clinton,  ont saisi l’occasion pour décréter que tous les emails publiés étaient faux, amis ils ont échoué.
Dans les 24 heures qui suivent l'envoi par Eichenwald de ses emails et de ses Tweets, mais sans fournir sa «preuve russe», ce rapport note, le 7 octobre, que le Département de la Sécurité intérieure (DHS) du régime Obama a publié un document intitulé Déclaration conjointe du Département de la Sécurité Intérieure et du Bureau du Directeur du Renseignement National sur la sécurité électorale qui déclare en partie: «Certains États (américains) ont récemment vu le balayage et le sondage de leurs systèmes électoraux qui, dans la plupart des cas, provenaient de serveurs exploités par un Société russe. Cependant, nous ne sommes pas en mesure d'attribuer cette activité au gouvernement russe. "
A partir du 7 octobre, lorsque le Département de la Sécurité intérieure (DHS) du régime Obama a émis cette affirmation réfutant les allégations de "piratage Russe" d'Eichenwald, les analystes du SVR dans ce rapport expliquent qu'aucune autre fausse allégation contre la Russie n'a été faite par les États-Unis, jusqu’à la semaine précédant le vote du Collège électoral (le 19 décembre) qui allait confirmer Donald Trump comme le prochain président des États-Unis.
Et depuis cette date jusqu'à maintenant, le régime Obama, Hillary Clinton et les médias américains de propagande ont continué à maintenir l'un des plus grands et des plus malhonnêtes mensonges politiques jamais vu dans l'histoire américaine. Ce mensonge a commencé d'abord par des prétendues fuites anonymes de la CIA au Washington Post alléguant le piratage russe des courriels de Podesta. Il a culminé, de nouveau,  avec le DHS qui a publié un rapport, le 29 Décembre, intitulé GRIZZLY STEPPE - Cyberactivité malveillante russe, qui dit dans son préambule : "Le Département de la Sécurité intérieure (DHS) ne fournit aucune garantie de quelque nature que ce soit, en ce qui concerne toute information contenue à l'intérieur ». En d'autres termes, « rien de ce que vous allez lire ne peut être vrai ».
En fait, selon ce rapport, tous les experts mondiaux s’accordent pour dire que « le piratage russe » est une fausse nouvelle. Parmi lesquels on peut citer Jeffrey Carr, consultant en cybersécurité, auteur et fondateur de la conférence Suits and Spooks, qui a déclaré dans son rapport intitulé Rapport d'analyse conjointe FBI / DHS: A fatally Flawed Effort (un effort mortellement irrégulier) : "l'analyse que le rapport se contente de répertorier chaque groupe de menaces, signalé par une société de cybersécurité commerciale, soupçonné d'avoir des liens avec « les services de sécurité russe » sans apporter la moindre preuve de ces supposés liens"
Voici une vidéo d’une interview de John McAfee avec Larry King. En tant que développeur du premier programme commercial antivirus, McAfee a été un acteur majeur de l'industrie de la cyber sécurité depuis 50 ans. Il est également le PDG de MGT Capital Investments et un ancien candidat à la présidence du Libertarian Party. Basé sur toute son expérience, McAfee ne croit pas que les Russes étaient derrière les hacks sur le Comité national démocratique (DNC), les courriels de John Podesta et la campagne présidentielle Hillary Clinton. Comme il a dit «si (ce hacking) veut montrer que les  Russes l'ont fait, alors je peux vous garantir que ce n'était pas les Russes. »
McAfee affirme explique que les pirates peuvent fausser leur emplacement, leur langue et tous les marqueurs qui pourraient les faire pister. Tout pirate qui a les compétences nécessaires pour pénétrer dans la DNC serait également en mesure de cacher ses pistes, dit-il. "Si j'étais Chinois et je voulais que cela ressemble à ce que les Russes ont fait, j'utiliserais la langue russe dans le code, j'utiliserais les techniques russes pour entrer dans l'organisation", a déclaré McAfee, ajoutant qu'en fin de compte, "Il n'y a tout simplement pas moyen d'assigner une source pour une cyber attaque."
De même, Robert M. Lee,, PDG et fondateur de l'entreprise de sécurité informatique d'infrastructure critique Dragos, dans son rapport intitulé Critiques du rapport GRIZZLY STEPPE de DHS / FBI, déclare que le rapport du DHS "se lit comme un rapport fait par un mauvais vendeur peu intelligent  enserrant divers aspects de l'attribution sans preuve."
De même, le journaliste Glen Greenwald,  de l’Intercept News Service, et  titulaire du  prix Pulitzer, qui, en examinant tous les documents secrets de la NSA, aboutit à la même conclusion que Carr et Lee.
 De même,  Sam Biddle, journaliste basé à Brooklyn, se concentrant sur la malversation et le mauvais usage de la technologie. a critiqué les réclamations du piratage russe par le régime DHS d'Obama en déclarant: "tout ce que nous avons est l'allusion aux preuves, mais pas les preuves«. 
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Mais malheureusement,  le peuple américain ne n’est pas informé par leurs journaux traditionnels qui colportent, la plupart du temps, des fausses nouvelles. Ainsi, continuent-ils de mentir sur le prétendu piratage russe.
Grâce au contrôle militaire sur la NSA par le président élu Trump, les événements qui ont eu lieu à New York hier, montrent à l’évidence que la CIA tente de corrompre les autres services de renseignement américains. Mais le président élu Trump connait la vérité et ne se laisse pas abuser.