lundi 5 septembre 2016

Voici pourquoi et comment les Américains ont détruit le satellite israélien


Un nouveau rapport circulant au Kremlin aujourd'hui, préparé par le Conseil de sécurité (SC), avec la participation du Ministère de la Défense (MoD), indique que la Chine est devenue très "enragée" contre le président Obama car il a ordonné la destruction d'une fusée SpaceX en Floride ce jeudi (1er Septembre).
Lors de son arrivée à arrivée à l’aéroport international Hangzhou Xiaoshan (HGH) , ils ont refusé de le saluer comme un chef d'Etat , forçant Obama à une sortie honteuse par l’arrière d’Air Force One, pendant qu’un officiel chinois accostait sa conseillère en chef pour la sécurité nationale, Susan Rice, en lui criant : «ceci est notre pays, notre aéroport".
Le président Obama sort de l'arrière de l'Air Force One,
le 3 Septembre, après la Chine refuse de lui fournir l’escalier.


La raison pour laquelle le président Obama a été traité de manière déshonorante par les Chinois est due à l'ingérence militaire "délibérée et calculée" dans une  affaire internationale légitime, une transaction commerciale entre la Chine et une société israélienne nommée Spacecom.

Selon ce rapport, Spacecom est un opérateur israélien de communications par satellite au Moyen-Orient, dans l'Union européenne et en Amérique du Nord. Son siège est dans la ville de Ramat Gan, Israël. Ce pays a accepté le mois dernier (24 Août) la vente de cette entreprise à la société privée chinoise Beijing Xinwei Technology Group

 

Le Xinwei Technology Group de Beijing est l'une des plus importantes sociétés de télécommunications de la Chine que les analystes du MoD ont remarqué depuis longtemps est "propriété effective et contrôlée" par l'Armée de libération du peuple chinois (PLA).
Or la vente de Spacecom à Beijing Xinwei Technology Group était subordonnée à la réussite du lancement, à Cap Canaveral en Floride, du satellite AMOS-6 le samedi (3 Septembre). Mais le régime Obama avait, sans doute, jugé qu'il ne serait dans l’intérêt des États-Unis de voir ce transfert de technologie massif se faire. N’étant en mesure d'arrêter cette vente de manière légale, il a tout simplement décidé de le détruire.
Pour détruire le satellite AMOS-6, les Américains ont utilisé une  "arme-laser" avancée qui était à bord d'un véhicule aérien de combat sans pilote (unmanned combat air vehicle (UCAV)), lancé à partir d'un porte-avions de l'US Navy opérant dans les eaux au large les eaux côtières de l'Est des États-Unis (pas loin de Cap Canaveral).
Plus précisément, les analystes MoD notent que  le porte-avions nucléaire de l’US Navy USS George Washington (CVN 73) ont déclaré la semaine dernière qu'il fonctionnait dans ces eaux pour tester les capacités avions de combat F-35C Lightning II, mais qui, en réalité, conduisait secrètement des vols d'essai d'un drone Northrop Grumman X-47B qui a été équipé d'un laser à haute énergie de General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA-ASI , que le Pentagone veut voir opérationnel en 2017.
Le 1er Septembre, le "renseignement par satellite" de la Fédération ont détecté un X-47B partant de l'USS George Washington et allant cap Canaveral, où ce drone équipé de laser puis a plongé de sa "haute altitude de vol ", a effectué un  cercle  autour d'une fusée Falcon 9 (détenue par SpaceX) sur la rampe de lancement, et immédiatement après, la fusée a explosé détruisant le satellite AMOS-6, la scène a été enregistrée par vidéo.  Voir ICI.
US Navy X-47B véhicule aérien de combat sans pilote (UCAV)


Ce rapport étonnant conclut en notant que la Chine prendra "très certainement" des mesures de rétorsion contre le régime Obama pour avoir arrêté la vente de Spacecom au Xinwei Technology Group. Mais les Chinois n’ont subi aucun dommage monétaire réel, juste une "blessure" pour leur prestige, ce qui est plus dangereux.

Et, comme toujours, le peuple américain ne sera jamais autorisé à connaître la vérité dans tout cela.


Source : http://www.whatdoesitmean.com/index2108.htm
Traduction : Hannibal GENSERIC
Obama à Pékin

VOIR AUSSI : 

Un "OVNI" détruit un satellite armé israélien sur la rampe de lancement