samedi 15 juin 2013

L'Islamiste ne pense qu'à ça !

L’islamisme a un dossier chargé d’un passé d’intolérance et de totalitarisme, qui, au lieu de s’atténuer au gré de l’évolution globale de l’Humanité, ne fait que s’aggraver avec la soumission quasi générale du monde arabe à l’islamisme. Même si ce totalitarisme n’a pas été politique au sens strict du terme, il a été psychologique, et dans l’islamisme cette tendance continue de façon souvent radicale. Selon des experts, ce mélange détonnant de religion de politique et de superstitions d'origine païenne pourrait découler d’un grave dérèglement sexuel des hommes islamistes.


Quelques réalités biologiques

La testostérone, l’hormone mâle, est à la fois responsable de l'accroissement de la masse, et donc de la force musculaire ainsi que de la violence, qui elle-même voile le discernement de l'esprit : pour résumer cette double action hormonale de façon imagée, nous pourrions dire que plus cette hormone augmente le volume des muscles, plus elle « diminue » celui de la matière grise...En effet, on a rarement rencontré des génies parmi les catcheurs ou les piliers rugbyman.

Par ailleurs, que constate-t-on ? 
Au niveau mondial, 90% des gens en prison sont des hommes, et ce sont eux qui effectuent 95% des crimes violents, et 99% des agressions sexuelles. Les chiffres sont éloquents en eux-mêmes. Ils montrent le lien entre sexualité et violence chez l’homme. On ne sera pas étonné, dans ce contexte, que le monothéisme exclusif qui a supprimé les déesses, soit, dès le départ, empreint de violence. Tout le monde sait que la pédophilie est très répandue au sein des clergés monothéistes (catholiques, juif ou musulman), ce qui prouve, à l'évidence, que ces clergés sont sexuellement dérangés.
On pourrait raisonnablement suggérer que les sujets atteints de paranoïa religieuse devraient bénéficier d'un traitement anti testostérone afin réduire leur violence ; analogue au traitement recommandé pour les violeurs récidivistes.

Évidemment la question délicate serait : comment déterminer qui souffre d’une paranoïa religieuse suffisamment grave pour mériter d’être traitée. Cela pourrait être le rôle d’un comité mixte d’experts avec des représentants –non islamistes- de juges et de psychiatres, d’un représentant des droits de l’homme et d’un anthropologue.

Le rapport entre viol et violence, entre désir sexuel et colère est bien reconnu par la psychologie traditionnelle comme par la psychanalyse. Pour dire les choses comme elles sont et sans tabou, le droit à tuer que s'arroge l'intégriste islamiste lui est aussi indispensable qu’un pénis bien érigé l'est au violeur ordinaire.

Ainsi va la vie. 
Dans les deux cas, viol et violence, probablement, le cerveau islamiste est intoxiqué par les "neurotransmetteurs de la toute-puissance", qu'on appelle dopamine ou PEA (Phényl-Ethyl-Amine, une sorte d'amphétamine naturellement produite par les neurones) et il est évidemment imbibé de testostérone. On peut rappeler à propos de cet effet stimulant de la classe des amphétamines sur les sentiments de toute-puissance le fait suivant : Hitler a développé une accoutumance à l’amphétamine de 1937 jusqu’à la fin de ses jours en 1945, c’est-à-dire durant toute cette période où il a été particulièrement virulent et destructif. Qu’une substance de la même classe soit aussi impliquée dans l’excitation sexuelle donne à réfléchir

La fureur de vivre serait-elle proche de la fureur de tuer ?

Juergensmeyer, un des meilleurs spécialistes américains de la violence religieuse, a été s'entretenir avec un des principaux responsables du premier attentat contre les tours du World Trade Center. Il l'a rencontré dans la prison où il purge une peine à perpétuité. Celui-ci lui a affirmé : "En Occident, vous n'avez aucune idée de la vraie religion, vous êtes comme des stylos sans encre". Sans pousser trop loin l’interprétation, on peut discerner un archétype phallique sous cette image et l'absence "d'encre" devient alors un signe d’anéjaculation lors de l'orgasme, et donc d’impuissance. Les attentats sont donc là pour donner une « leçon de puissance » à l'Occident, et lui "prouver" ainsi que l’islam du terroriste est le plus fort et le plus viril : simple...et réellement meurtrier.

Le symbole de l’épée islamiste

On constate d’ailleurs que l’emblème et l’arme préférée de l'intégriste musulman est l’épée. L’épée lui permet de pénétrer le corps de l’autre, de le tuer, de le violer. Elle lui permet aussi d’émasculer, afin d’anéantir la virilité de l’autre.
En psychanalyse, épée peut avoir plusieurs sens. En règle générale, l’épée est un symbole phallique. Elle représente l’organe masculin de reproduction : pour l’Islamiste, le pénis, c’est son instrument de travail.

Les plus célèbres épées de l’histoire ou de la mythologie portent un nom: Balmung, Nagelring, Excalibur, etc. Ces noms expriment la valeur symbolique et magique qu’elles reflètent. Leur nom et les actes qu’elles ont accomplis leur procurent simultanément une particularité. Souvent, ces épées uniques en leur genre ont une origine divine, ont été données à l’homme par des dieux et reviennent souvent à ceux-ci en bout de course. Si un héros possède l’une de ces épées, il possède en même temps puissance et salut. Pour cette raison, l’épée, tenue en main, exprime la force et les capacités masculines et phalliques, ce qui, par extrapolation, symbolise la puissance dominante. 
Quand j’étais gosse, je me rappelais les histoires extraordinaires qu’on nous racontait sur les épées des conquérants arabes. L’émir, ou le calife, chef des armées arabes, possédait une épée qui lui permettait de fendre les montagnes et de conquérir facilement les pays. Cela nous expliquait comment une poignée de bédouins incultes et barbares (la civilisation arabe n’existait pas alors), avaient pu soumettre des millions de Berbères, de Persans, de Mésopotamiens, de Byzantins et d'autres peuples ayant tous des  civilisations brillantes et multiséculaires.  Tout simplement miraculeux ! Nous y croyions, à ces miracles.

Conclusion

Au Jour du Jugement Dernier, les Islamistes iront au Paradis et les autres musulmans (en compagnie des infidèles) seront consignés aux flammes de l'Enfer. Nous avons vu, dans l’article « Coran : vierges houris ou raisin blanc », comment certains commentateurs du Coran, des obsédés sexuels, font des interprétations grossières du paradis, avec des houris éternellement vierges et les "bons musulmans" en rut perpétuel. 
Peut-être comprendrez-vous alors comment ces innombrables jeunes mâles sans travail, sans sexualité, autre que furtive et souvent homophile (autre déni du réel), sont aisément manipulables et transformables en guerriers violeurs, kamikazes, cannibales, et en chair à canon, par des pervers plus intelligents qu’eux, résidant à Tel-Aviv,
Paris, Londres ou Washington. Si ces jeunes terroristes retrouvaient une sexualité normale, ils perdraient probablement leur fascination pour le passage à l'acte violent. 
Devant l’état actuel de déliquescence avancée des régions dites "arabes" et des régions musulmanes, on a l’impression consternante que les populations sont paralysées dans leurs croyances et préfèrent dériver dans la violence, déclencher toute une série de guerres plutôt que d’oser remettre en question le mélange de foi et de superstitions auxquelles elles s’identifient complètement. C’est comme une anesthésie quasi générale, et il s’agit bien sûr d’un problème psychologique autant que collectif et historique. On attend de la psychologie qu’elle opère la synthèse humaine de problèmes complexes, qu’elle éclaire les mécanismes de déviation en jeu quand surviennent des comportements pathologiques, et qu’elle donne des pistes de thérapie. C’est ce travail en substance humaniste que les spécialistes arabes ou musulmans devraient entamer.
Hannibal Genséric