mardi 18 juillet 2017

Protocoles XVII, XVIII, et XIX des sages de Sion



Protocole 17 - Enchaîner les avocats
Protocole 18 - Mise en vigueur du système soviétique
Protocole 19 - Pétitions et propositions

Protocole XVII
01
Quand notre règne viendra, nous ne laisserons échapper aucune occasion de comparer les avantages de notre gouvernement aux administrations incohérentes du passé. Nous mettrons bien en relief les erreurs des gouvernements des goyim ; nous soulèverons contre eux un tel dégoût que les peuples préféreront la tranquillité et la paix dans l'esclavage aux droits de la fameuse liberté qui les a tant martyrisés durant des siècles et qui a épuisé les sources mêmes de l'existence humaine, sources qui furent exploitées par une foule d'aventuriers ignorant ce qu'ils faisaient Alors, les peuples seront si las des changements de régime, inutiles par le fait – auxquels nous avons poussé les goyim en sapant leur appareil gouvernemental- qu'ils préféreront accepter tout ce que nous leur imposerons plutôt que courir le risque de retomber dans les tourments de la misère ; d'autant que nous insisterons surtout, dans nos critiques publiques, sur les erreurs des gouvernements goyim qui ont fait souffrir l'humanité pendant des siècles, parce qu'elle ne comprenait pas le vrai bonheur et allait constamment à la recherche d'améliorations sociales fantaisistes, sans s'apercevoir que ces améliorations, tout en apportant du bien-être à quelques-uns, étaient nuisibles à l'ensemble et au bon ordre du régime, qui est en somme la base même de l'existence humaine. Nos principes et nos mesures auront à leur actif le fait qu'ils seront interprétés et présentés comme faisant contraste avec l'ancien régime pourri des temps passés.
02
Nos philosophes discuteront et critiqueront toutes les lacunes des croyances des goyim ; mais les goyim ne pourront en faire de même à l'égard de notre religion, car personne n'en connaît les secrets, sauf nos talmudistes et nos rabbins, et ceux-là ne les trahiront jamais, parce que c'est en eux que réside toute la force denotre pouvoir sur nos ouailles.
03
C'est surtout dans les pays dits avancés que' nous avons créé une littérature stupide, ordurière et répugnante. Nous ne l'interdirons pas dès notre avènement au pouvoir, mais nous la déracinerons peu à peu par une critique sévère, afin qu'elle ne demeure que comme un reste des ruines des goyim et qu'avec plus de relief ressorte encore le contraste entre ce qui émane des hauteurs de nos sommets et ce qui sortait des marais pestilentiels des royaumes des goyim.
Protocole XVIII
01
Le besoin du pain quotidien imposera le silence aux goyim et en fera nos humbles serviteurs. Si jamais nous les autorisions à faire quelques réflexions sur quoi que ce soit, ce ne serait que pour faire passer inaperçues, dans le bruit de ces discussions, des mesures que nota avons le désir de réaliser, puis de les leur présenter ensuite tomme un fait accompli ; il ne viendra à l'idée de personne de réclamer l'abrogation d'art décret déjà promulgué, étant donné surtout qu'il sera présenté comme un progrès. En outre, nos agents tourneront l'attention publique vers des innovations (nous avons habitué les hommes à rechercher toujours la nouveauté).
02
Ces questions absorberont l'esprit des dirigeants, de ces naïfs politiciens qui ne peuvent comprendre qu'ils n'entendent rien aux sujets qu'ils traitent, que ce qui concerne la politique n'est accessible qu'à ceux qui la dirigent depuis des siècles, suivant un plan déterminé, à ceux qui l'ont créée et mise en usage comme on le fait d'un char dans lequel on mène des gens qui ne savent pas où ils vont. Nous n'en déférerons à l'opinion publique que pour lui donner l'occasion de discourir et non pour influencer nos actes, et nous ne laisserons échapper aucune opportunité de déclarer que nous n'avons pour objet que de servir le bien public.
03
Pour détourner actuellement l'attention de la vraie politique, nous avons placé les questions de l'industrie et du commerce sur un terrain qui feint d'être politique. Les goyim vont s'occuper de ce nouveau problème.
04
Mais pour qu'ils ne s'adonnent pas trop au travail cérébral et ne soient pas entraînés à agir, nous avons organisé pour eux toutes sortes de lieux de plaisir qu'ils s'empressent de visiter, tenant à expérimenter toute chose. Nous commencerons bientôt, par l'intermédiaire de la presse, à lancer des concours artistiques, sportifs ou encore des concours d'inventions; nous détournerons ainsi définitivement les esprits de la discussion des questions dont nous désirons nous occuper exclusivement. Les hommes, se déshabituant de plus en plus d'avoir une opinion indépendante.- dans les questions sociales, se mettront à l'unisson avec nous, parce que nous serons les seuls à lancer des idées nouvelles, par l'intermédiaire de ceux avec lesquels nous ne semblons pas être du même avis.
05
Quand notre pouvoir sera reconnu et le gouvernement international établi, le rôle des utopistes sera terminé ; mais, pour l'instant, ils nous sont encore utiles, parce qu'ils orientent les esprits vers des théories fantastiques, soi-disant avancées, et les détournent de la réalité. Nous avons réussi à tourner toutes les têtes par l'idée du; progrès. II ne s'en est pas trouvé une seule chez les goyim capable de s'apercevoir qu'il n'y a qu'une seule vérité et, qu'en tant que vérité, elle ne peut progresser; que le progrès est un éloignement de la vérité chaque fois qu'il ne s'agit pas d'inventions matérielles ; que le progrès sert à cacher la vérité afin que personne ne puisse la connaître, sauf nous, les Élus de Dieu, les gardiens de la vérité sur le mystère des relations humaines et de leur bien, de cette vérité que nous tenons cachée jusqu'au moment de notre victoire définitive et de notre conquête pacifique de l'univers.
06
Lorsque nous aurons le pouvoir, nos orateurs discuteront sur le problème de la vérité et sur celui des régimes gouvernementaux, en indiquant les erreurs des gouvernements goyim auxquels nous avons enfin assuré le bien-être sous notre domination. Qui donc se doutera alors que toutes ces erreurs ont été créées et machinées par notre programme éducatif, selon le plan politique élaboré par nos Sages, Salomon à leur tête, pour la conquête pacifique de l'univers au profit de notre couronne – celle de la Maison du roi David.
07
II ne sera pas désirable pour nous que subsiste une autre religion que la nôtre, celle qui n'adore qu'un seul Dieu à qui est lié noue destin et, par nous le destin du monde entier, puisque, d'après notre religion nous sommes le peuple élu de Dieu. C'est pourquoi nous devons nous efforcer d'effacer de la terre, avant l'arrivée de ce jour, toutes les autres religions. Si nos efforts dans ce but font naître des athées, il ne serviront que d'élément transitoire vers notre religion et cela ne pourra pas nous nuire, mais sera au contraire un exemple pour les générations futures auxquelles nous prêcherons la religion de Moïse. Nous insisterons sur sa vérité mystique qui a été si puissante qu'elle a su, à travers les siècles, amener tous les peuples sous notre domination.
Protocole XIX
01
Au temps de notre règne, dans le but de détruire toutes les forces collectives excepté la nôtre, nous commencerons par rendre inoffensives les universités qui sont le premier degré du collectivisme. Nous rééduquerons leur personnel dans un esprit nouveau. Leurs directeurs et leurs professeurs seront formés par un programme d'action secret et très complet dont ils ne pourront guère s'écarter sans être punis. Ils seront choisis avec une prudence particulière et dépendront entièrement du gouvernement. Nous supprimerons du programme l'enseignement du droit civil, de même que l'enseignement de tout ce. qui a tait aux questions politiques. Ces sujets seront enseignés dans des écoles spéciales à quelques dizaines de personnes seulement, qui auraient terminé leurs études universitaires et se distingueraient par des facultés remarquables. Seules ces personnes seraient du nombre des initiés. Il ne devra pas sortir des universités de ces jeunes blancs-becs, fabricants de constitutions, comme ils le sont de comédies et de tragédies et se mêlant des questions politiques auxquelles leurs pères eux-mêmes n'entendaient rien. L'étude des questions soi-disant politiques mal dirigée sert, pour le plus grand nombre, à former des utopistes et des citoyens médiocres, comme vous en pouvez juger par le résultat obtenu dans les universités avec l’enseignement général qu'on y donne aux goyim. Il nous était nécessaire d'introduire dans leur système d'enseignement tous les principes propres à détruire leur ordre social. La soi-disant connaissance qu'a la foule de la politique a surtout contribué à troubler cet ordre. Lorsque nous serons au pouvoir, nous éliminerons de l’enseignement toutes les matières susceptibles de troubler les esprits, et nous ferons des enfants une jeunesse obéissant à ses chefs et aimant le Souverain, comme un père garantissant la paix et la tranquillité. Nous remplacerons l'étude des classiques et celle de l'histoire antique – qui contient plus de mauvais exemples que de bons – par l'étude des problèmes de l'heure présente et de l'avenir. Nous effacerons de la mémoire humaine tous les faits des siècles passés, dont le souvenir nous est défavorable ; nous ne laisserons subsister que ceux où s'affirment les erreurs des gouvernements des goyim. En tête de notre programme d'éducation, nous placerons l'étude de la vie pratique, de l'ordre social obligatoire, de la nécessité d'éviter les mauvais exemples de l'égoïsme, qui sont particulièrement propres à semer le mal, enfin différentes questions pédagogiques. Ce programme sera composé suivant un plan spécial pour chaque profession et ne devra jamais dégénérer en un système d'instruction générale. Cette question présente un intérêt de la plus haute importance.
02
Chaque classe devra être éduquée selon un programme rigoureusement délimité et en rapport avec sa situation et la nature de son travail ; les génies fortuits ont toujours su pénétrer dans une caste supérieure ; mais on ne peut, pour ces rares exceptions, ouvrir l'accès des rangs élevés aux incapables et les déclasser, par une éducation qui n'est pas appropriée à la situation qui leur est destinée par leur naissance. Ce serait, pour ainsi dire, faire dévier la roue de la machine, ce qui gênerait la marche de tout le mécanisme social. Vous savez déjà comment s'est terminée l'expérience faite par les goyim qui voulurent enfreindre l'ordre divin et donner à tous des droits égaux ou faire à leur gré la distribution de ces droits, ce qui ne saurait rester impuni.
03
Afin qu'il y ait, dans les cœurs et dans les esprits de ses sujets, une empreinte bien forte du prestige &'.Souverain, il est nécessaire que pendant son règne on tienne le peuple au courant de ses actions et qu'on lui rappelle son importance et le caractère bienfaisant de toutes ses entreprises pour son bonheur et pour celui de l'humanité.
04
Nous supprimerons toute espèce d'enseignement libre. Toutes les sources de l’enseignement seront centralisées entre les mains du gouvernement. Mais il y aura des conférences, libres en apparence, autorisées les jours fériés dans les écoles, où les élèves seront admis avec leurs parents comme dans des cercles, dans le but d'échanger leurs idées avec les professeurs sur le coté philosophique des rapports des hommes entre eux, sur la nécessité de garder sa place fixe dans la vie sociale, sur les lois de l'exemple, sur celles des représailles qui sont provoquées par des inconscients, sur les normes qui doivent régir les rapports sociaux entre les hommes.
05
Enfin, ces conférences serviront à exposer les nouvelles théories qui n'ont pas encore été par nous révélées au monde et qu'il nous est nécessaire d'ériger en dogmes de foi ; nous les ferons servir de transition pour amener les gens à notre religion. Je vous ferai l'exposé des bases de ces théories après vous avoir fait connaître notre programme pour l'avenir.
06
Bref, sachant par expérience que c'est par les idées et les théories qu'on dirige les hommes, et que celles-ci leur sont inculquées par l'enseignement, cet enseignement peut être donné à tous les âges avec le même succès, à condition d'user de différents systèmes pour aboutir à une telle suggestion. Nous saurons absorber et capter à notre profit les derniers vestiges d'indépendance de la pensée humaine que nous orientons depuis des siècles dans la voie qui nous est favorable.
07
Nous avons commencé à asservir définitivement la pensée par la méthode de l'enseignement visuel qui rendra les goyim incapables de réfléchir et en fera des animaux obéissants ; ils attendront la' démonstration d'une idée avant de chercher à la saisir. Un de nos meilleurs agents en France, Bourgeois, a déjà annoncé un nouveau système d'éducation intuitive. A présent que nous sommes en force, nous n'avons pas besoin de goyim penseurs, mais il nous faut des travailleurs, ces matérialistes de tous temps, consommateurs avides de tous les biens terrestres.