jeudi 24 mars 2016

Tunisie. Des camps terroristes un peu partout. La "Justice" et le Premier Ministre sabotent les enquêtes



Détails terrifiants sur des camps dangereux de formation militaire de terroristes en Tunisie. Financement par un riche homme d’homme d'affaires salafiste. 30 mille dinars pour chaque recrue. Des tunnels sous terre et formation au combat dans les montagnes. Ennahdha finance les camps et recrute la chair à canons et les assassins.  Les Tunisiens pris en otage par Ennahdha et par une "Justice" scélérate. Un gouvernement de charlots bride l'armée, la Garde Nationale et la Police. Les syndicats de police et de garde nationale menacent de diffuser les noms des politiciens qui financent le terrorisme. Une députée nahdhaoui appelle la population à la sédition, à attaquer et occuper le Ministère de l’Intérieur.
Le Premier Ministre bloque des enquêtes, la "Justice" les sabote. 
Tout va bien en Tunisie.


Des responsables du camp d'entraînement de djihadistes à Menzel Ennour,  près de Monastir, qui viennent d’être arrêtés, reconnaissent toucher au moins 30 mille dinars par djihdo-sioniste recruté,  formé, et entraîné au combat. Les recruteurs ont pignon sur rue et on les connaît, cependant ils sont protégés par un « grand parti politique », entendez EnnahDaech.

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Des sommes  énormes


Dans les confessions de l’un des délinquants arrêtés appartenant à la cellule terroristes de Menzel Nour, et qui est un professeur d’éducation physique et sportive, il recevait une somme d'argent estimée à 30.000 dinars pour chaque personne réussissant à recruter pour combattre en Syrie, et que l’opération réussit et que le (la) jeune arrive en Syrie, le recruteur et l’entraîneur au combat reçoivent chacun une somme supplémentaire comme bonus ou un cadeau d'un homme d'affaires  propriétaire d'un restaurant très connu à Sousse. Ce restaurateur célèbre « lave » l’argent reçu de l’étranger représentant des millions de dollars, afin qu’il distribue cet argent aux réseaux de recruteurs réussissant à envoyer des jeunes e Syrie, en Irak, en Somalie et ailleurs.

Les étapes


La chasse aux jeunes se fait par l’intermédiaire de membres du clergé. La cible est soigneusement choisie, en fonction de son niveau d’études, de sa situation familiale, financière, psychologique,  sont strictement confidentielles et loin des yeux des hommes de sécurité. Ensuite, après la fin de la phase initiale, le responsable du réseau se met d’accord avec les jeunes sur le montant remis à leurs familles s’ils atteignent la Syrie.

Le propriétaire d'un restaurant archiconnu 


L’arrestation de l’homme d’affaire propriétaire du fameux restaurant à Sousse a eu lieu hier pour appartenance à une organisation terroriste. Les djihadistes arrêtés à Menzel Nour ont reconnu que cette personne les aidait financièrement et logistiquement. Il a également assisté à plusieurs reprises aux « entraînements » militaires des recrues. Depuis que cet homme d’affaire a ouvert un restaurant spécial pour les « niqabées », et exclusivement pour elles, les oupçons de la police se sont portées sur lui. Cependant, protégé par Ennahdha, qui était alors seule au pouvoir, la Police n’a rien pu faire, sauf à le surveiller discrètement. Maintenant qu’Ennhdha n’a plus TOUS les pouvoirs, cet homme a été arrêté. Mais l’on sait que le pôle judiciaire chargé du terrorisme est encore aux mains des islamistes, donc il est fort probable que tous les djihadistes arrêtés et leurs sponsors, comme ce restaurateur, soient rapidement libérés pour  « insuffisance de preuves »….   

Les tunnels souterrains

Dans un précédent dangereux, le groupe terroriste de Menzel Ennour a creusé des tunnels dans une région montagneuse et a construit un camp militaire intégré supervisé par un certain  «B. B », professeur, assisté d’un deuxième accusé connu sous le nom« Abu Bashir »...Ces tunnels seront reproduits un peu partout en Tunisie (Chaambi, Semmam, El Kef, etc) , en Syrie , en Libye et en Irak, afin que les rats islamistes puissent s'y protéger des attaques aériennes.

Opération militaire

Pour sa part, Riad Rezgui dans l'Union nationale des membres des Forces de sécurité intérieure,  a déclaré que les images publiées par le ministère de l'Intérieur sont corrects. Il a ajouté que les exercices effectués par des terroristes appelés «entraînements au combat» sont de type de celles que suivent les soldats ou les policiers, et qu’elles étaient hautement confidentielles. Elles visent à renforcer la capacité du combattant pour résister à des batailles sur le terrain de la guerre civile. Notre syndicaliste a demandé au ministère de l'Intérieur de  répondre fermement à ces cellules terroristes, en disant dans ce contexte «attendez-vous à ce que notre syndicat dévoile au public tous les noms des politiciens qui aident et supportent des terroristes, et nous les assurons que nous n’avons pas peur d’eux, et quelles que soient leurs tentatives financières ou autres pour nous salir,  ne réussiront  pas à toucher nos services de sécurité qui restent un mur solide contre les terroristes et leurs partisans ».

Ben Toumia et ses appels à la sédition


Quant à Habib Rashdi,  secrétaire adjoint du syndicat de la sécurité républicaine, il a accusé Soumaya Ben Toumya, et députée nahdhaoui de l'Assemblée Constituante, d’inciter les gens de Menzel Ennour pour aider son frère, qui est actuellement terroriste en Syrie au sein d’Al-Nosra, branche local d’Al-Qaïda. ..Il a été recruté, comme elle, par le réseau nahdhaoui, formé dans le camp de Menzel Ennour, envoyé en Libye puis en Syrie. Aux dernières nouvelles, il serait prisonnier de l'Armée Arabe Syrienne. Et l'on sait qu'Assad a rejeté la demande de la Tunisie qui veut récupérer ses terroristes emprisonnés, pour que la "Justice" tunisienne les juge non responsables et les libère illico preto. Ensuite, Ennahdha va les "recycler" comme cela a été fait en 2011 par Marzouki.

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Le drapeau du dernier calife abasside,
veule et traître a été choisi comme
drapeau des Islamistes félons
Il a ajouté que les Tunisiens connaissaient cette mégère islamiste au travers de ses  interventions d’un niveau lamentable à l'Assemblée constituante tunisienne, et maintenant ici on lui découvre un visage réel et effrayant, ajoutant que le syndicat des agent de la sécurité républicaine  va porter plainte contre elle pour incitation à la révolte contre le ministère de l'Intérieur et de ses responsables. Dans un pays normal, avec un gouvernement et une justice normales, cet appel à la sédition est passible des plus sévères sanctions...Mais en Tunisie, EnnahDaech et son complice BCE veillent. En élisant BCE, les Tunisiens et surtout les Tunisiennes se sont faits hara kiri. Ghannouchi ou BCE, c'est "drapeau noir" et "noir drapeau". 
En vidéo – MI : Le frère de Sonia Ben Toumia est en Syrie
Planquez-vous !
Voici Ben Toumia

Habib Rashidi a affirmé qu’il y a d'autres camps d'entraînement dans la capitale et dans trois autres gouvernorats, tous soutenus par un parti politique « bien connu », camps parfaitement équipés pour l’entraînement et la formation militaires. 
Concernant la campagne féroce menée par les partisans du parti du Congrès pour la République et Ennadha contre les hauts fonctionnaires du ministère de l’Intérieur, il a souligné  qu'il a mis en garde les autorités de sécurité du danger de ces attaques suspectes, mais, évidemment,  le procureur de la République n'a pas levé le petit doigt en face à la gravité de ces attaques diffamatoires visant des syndicalistes et des dirigeants sécuritaires.


Le dossier Daïmi provoque un  profond malaise entre le P.M. et le Ministre de l'Intérieur



Des sources bien informées ont révélé que les différences profondes provoquent actuellement un profond malaise au niveau du gouvernement, et plus spécialement entre le entre le Premier Ministre Habib Essid,  et le Ministre de l'Intérieur Hadi Mejdoub. La cause de profond malaise vient de l’action extrêmement choquante  du Premier Ministre qui a donné l’ordre d’arrêter les investigations concernant le trafic d’armes et les caches d’armes des terroristes, découvertes lors des opérations anti-terroristes à Ben Guerdane. Le Ministère de l’Intérieur a demandé la levée de l’immunité parlementaire du député pro terroriste Imad Daïmi du parti du Congrès. Cette levée d’immunité doit permettre à la cellule de lutte contre le terrorisme de l’interroger à propos du dossier des dépôts d’armes terroristes et du trafic d’armes dans lesquels il semble impliqué.

Imed Daïmi
Le Premier Sinistre veut ralentir les investigations à cause, peut-être, des pressions politiques qu’il subit de la part du duo Ghannouchi-BCE. Alors que le Ministre de l’Intérieur estime, à juste raison, que tout retard dans les investigations anti terroristes aura des répercussions dramatiques et sur la lutte anti terroriste, et sur la confiance des Tunisiens, en particulier ceux qui ont perdu un parent proche tué par les terroristes et les trafiquants. En effet, le Ministre de l’Intérieur estime que ces freinages vont aussi démotiver les services de sécurité dans leur lutte contre le terrorisme et la contrebande, d’autant plus que les familles des martyrs morts pour la Tunisie attendent que l’Etat montre que ces soldats et ces policiers ne sont pas morts pour rien, comme semble le montrer le comportement pour le moins incompréhensible de Premier Ministre.

Les mêmes sources ont indiqué que le témoignage de député Ahmad Al-Amari d’Ennahdha auprès de la Garde Nationale de Ben Guerdane a conforté les recherches sur l'implication de Daïmi dans le réseau de contrebande d'armes, lequel réseau comprend aussi l’un de ses proches, et quelques grands contrebandiers bien connus.


VOIR AUSSI :

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Tunistan. Les recruteurs daéchiens ont pignon sur rue

Des soldats britanniques forment les terroristes daéchiens et les soldats officiels !!

Hannibal GENSERIC